Le Festival d’Oran du film arabe (FOFA) revient pour une septième édition du 23 au 30 septembre avec pour thème « la nouvelle vague du cinéma arabe, mettant ainsi en relief le talent et la créativité des cinéastes, comédiens et autres professionnels du 7ème Art », a précisé le directeur artistique de l’événement, Mouènis Khammar.
Près de 200 œuvres représenteront une quinzaine de pays du monde arabe : Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Egypte, Emirats arabes unis, Irak, Jordanie, Koweït, Liban, Maroc, Mauritanie, Palestine, Qatar, Syrie et Tunisie. 38 créations seront projetés dans le cadre des compétitions long-métrages (14) court-métrages (18) et documentaires (6).
Le cinéaste algérien Ahmed Rachedi, le réalisateur tunisien Réda Bahi et le journaliste et critique de cinéma algérien Nabil Hadji présideront les différentes sections en compétition. La quasi totalité des films retenus sont les premiers long-métrages des réalisateurs a précisé le directeur artistique du festival, Mouènis Khammar.
Il annonce également de nouvelles récompenses : une pour le meilleur film documentaire et le Prix de la Presse délivré par un jury de journalistes. Autour du cinéma, des rencontres rassembleront professionnels et festivaliers, autour de conférences thématiques sur la « critique cinématographique » et les « droits d’auteurs ».
Les films sont projetés dans différents lieux, dont le Centre des conventions de Mohamed Ben Ahmed (CCO), les salles de cinéma « Maghreb », « Es-Saada » et la cinémathèque d’Oran.
Mais à une semaine à peine de la soirée d’ouverture, la programmation n’est toujours pas annoncée, le site internet est en panne et certains invités en attente de confirmation, alors que le Festival d’Oran du film arabe est un des plus importants festivals cinématographiques du monde arabe.
