Vidéo. Cheb Khaled soutient Bouteflika : grâce à lui l’Algérie a des hôtels où les étrangers peuvent « prendre un whisky »

Redaction

Cheb Khaled aime Abdelaziz Bouteflika. Il ne se lasse pas de faire des déclarations d’amour au Président qui a décidé de se présenter à l’élection présidentielle. La dernière date de mercredi 12 mars, au cours de l’émission « L’invité » présenté par Patrick Simonin sur la chaine TV5 Monde. Le chanteur justifie son engagement par des arguments parfois surprenants…

Le roi du raï semble adopter la casquette du porte-parole des soutiens d’Abdelaziz Bouteflika en France en cette période électorale. Après avoir affirmé une première fois son soutien au chef de l’Etat, Cheb Khaled réitère sa dévotion à Bouteflika, un homme qui « a rendu sa fierté à l’Algérie ». « Depuis qu’il est venu ce monsieur là [Abdelaziz Bouteflika] j’ai la sécurité dans mon pays. Depuis qu’il est venu ce monsieur, mon pays a changé, mon pays a évolué » a-t-il répondu au présentateur qu’il lui a demandé de revenir sur l’élection présidentielle algérienne. Le chanteur estime qu’Abdelaziz Bouteflika a été salvateur pour l’Algérie, il a permis des progrès dans le pays, la preuve, « quand je rentre chez moi avec un étranger je suis fier de le ramener dans un grand hôtel, je sais pas s’il a besoin d’un whisky je peux l’emmener! », a-t-il assuré très sérieusement devant le journaliste quelque peu gêné par sa réponse.

Cheb Khaled estime que le Président à encore beaucoup « de projets » pour l’Algérie. Interpellé sur l’âge avancé du Président [ndlr 76 ans] Cheb Khaled reconnait que certes Abdelaziz Bouteflika se fait vieux, mais  » il a tout son esprit et toute sa tête « .

Justement le chanteur qu’on attend plutôt de voir sur scène que dans un débat politique, reconnaît qu’il n’a jamais donné son avis sur la politique algérienne. « Je n’ai jamais soutenu un parti politique, mais cette fois j’ai envie de soutenir l’homme » a enfin conclu Cheb Khaled qui viendra interpréter quelques unes de ses chansons en Algérie lors de la campagne électorale.

Voir l’intégralité de son interview :

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