Clap de fin pour Algé’Rire, les humoristes donnent rendez-vous l’an prochain

Redaction

Tomber de rideau hier soir sur la première édition du Festival d’humour Algé’Rire, installé au chapiteau de l’hôtel du Hilton à Alger. Après quatre jours de spectacle, la troupe de comédiens emmenée par Smaïn, le parrain de cette édition, a salué une dernière fois le public algérois avec la promesse de revenir l’an prochain.

Pour le bouquet final d’Algé’Rire, le chapiteau du Hilton affichait complet hier soir. C’est un jeune talent algérien originaire de Sétif, Mourad Saouli, qui a ouvert le bal. Suivi de James Chadier, un Mentaliste français, qui a sollicité la participation du public. Des représentations toutes introduites par le trio infernal d’animateurs, Smaïn, Ramzy et Wahid, toujours très complices. « One, two, tree, viva l’Algérie », drapeau et hymne nationale, ils ont encore une fois donné dans la fierté nationale pour un public conquis.

Surpris par la réussite de la première édition d’Algé’Rire, Ramzy ne cache pas sa joie. « On a rien à envier à personne », lance-t-il :

Interview de Ramzy

L’ambiance est montée d’un cran avec l’apparition endiablée des Quatre danseurs fantastiques, un quatuor hors-pair, finalistes de l’émission française Incroyable talents diffusée sur M6. Sur des rythmes variés et entraînants, les quatre danseurs ont enflammé le public. Jérémy, alias « J », et Christopher, deux des membres de la bande, sont encore très émus par l’accueil que le public algérien leur a réservé :

Interview de Jérémy et Christopher

Une émotion vive partagée par Wahid, qui avoue « n’avoir jamais ressenti ça avant dans sa carrière » :

Interview de Wahid

Clou de la soirée, Abdelkader Secteur a donné un aperçu de son nouveau spectacle en exclusivité et repris quelques sketchs de son répertoire, comme le fameux « Milouda ». Pour le régional de l’étape, c’est facile de se représenter en Algérie tant les Algériens sont bon public :

Interview d’Abdelkader Secteur

Heureux parrain de cette première édition, Smaïn donne rendez-vous l’an prochain :

Interview de Smaïn

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