A ceux qui s’interrogeraient sur la question de la corruption, le ministère informe que « les appels d’offres du gouvernement algérien suivent des procédures strictes pour réduire le risque de pots-de-vin dans l’attribution des contrats ». Il ajoutera, pour preuve, que « de nombreuses entreprises britanniques font état d’opérations commerciales réussies avec l’Algérie, loin de toute pratique de corruption ».
L’Algérie, un pays où il fait bon faire des affaires
Cependant, des points négatifs sont relevés. Ainsi, le rapport précise que « faire des affaires en Algérie peut être difficile » notamment « en raison des lenteurs bureaucratiques et de la rude concurrence ».
Sur le plan sécuritaire, le document rappelle qu’aucune entreprise étrangère n’a été « la cible » de groupes terroristes. Mais la menace terroriste reste présente dans certaines régions de l’Algérie, « notamment les zones frontalières du Sud et de l’Est ». Cependant, note le rapport, il « n’y a pas de menaces spécifiques contre les compagnies étrangères provenant du crime organisé ».
Essaïd Wakli