Les «affaires» de Chakib Khelil ne s’arrêtent finalement pas à Sonatrach. Elles s’étendent à d’autres grandes entreprises, notamment Sonelgaz.
Les juges du pôle spécialisé du Tribunal de Sidi-M’hamed vont convoquer des cadres et responsables de la Société nationale d’électricité et de gaz (Sonelgaz), pour enquêter sur des soupçons d’emplois « fictifs». Selon le journal arabophone Echourouk, il s’agit essentiellement d’un « conseiller », recruté pour un salaire de 1,5 millions de dinars par mois. Le hic est que l’employé en question ne réside même pas en Algérie. Il s’appelle « Bala ». Il habite à Paris.
Cet employé d’un genre à part, qui percevait une partie de son salaire en devises (5000 Euros), a travaillé au sein de Sonelgaz de 2005 à 2010 comme consultant en réseau informatique. Le « consultant » avait même refusé un premier salaire de 120 000 DA.
E. W.