Sur une superficie de 14 000 m2, 41 pays présent avec 630 maisons d’édition, prendront part à cet évènement. 250 maisons d’édition algériennes exposent et présentent leurs nouveautés au public.
Le président de la république M. Abdelaziz Bouteflika a inauguré officiellement hier le 17ème Salon International du Livre (SILA). Cette évènement, se poursuivra jusqu’au 29 septembre.
En coïncidence avec le cinquantenaire de l’indépendance, cette 17ème édition réunira les éditeurs, écrivains et amoureux du livre sous le slogan « Mon livre, ma liberté ». Au programme, des conférences aborderont les thématiques de l’histoire du mouvement national, de la guerre de libération et de la création littéraire et artistique en Algérie depuis 1962. Ces conférences seront animées par des écrivains, des universitaires, des éditeurs et, et des journalistes algériens et étrangers.
Ainsi, des rencontres, présentations de livres, deux hommages à savoir : Mouloud Feraoun, Ahmed Réda Houhou, Yasmina Khadra, Rachid Boudjedra et Rabah Belamri. Un colloque dédié à Assia Djebar, intitulé Algérie, histoire et littérature, sera organisé le 28 et 29 septembre à l’hôtel Hilton.
La culture panafricaine à l’honneur
Au cœur de la littérature africaine « l’Esprit Panaf » sera à l’honneur, et verra la participation de plusieurs auteurs qui aborderont des thématiques relatives à la création littéraire ainsi qu’à l’histoire des indépendances.
L’Agence algérienne pour le rayonnement de la culture (Aarc) sera également présente pour la 3ème année consécutive. Cette participation a pour objectif aussi de faire connaître les missions de l’Aarc, dans le domaine du livre numérique.
Plusieurs soirées poétiques seront également organisées ainsi qu’une rencontre autour du Prix international arabe.
En marge du salon, des projections-débat de films adaptés d’œuvres littéraires seront organisées en partenariat avec la cinémathèque algérienne.
Nouara KRIBEL
