Alger va demander à Djezzy, la filiale locale d’Orascom, de verser des arriérés d’impôts supplémentaires qui viennent s’ajouter aux 600 millions de dollars qu’il exigeait déjà, ont déclaré dimanche à Reuters des sources industrielles et gouvernementales.
La banque centrale algérienne a également averti la justice qu’elle suspectait le directeur général de Djezzy d’avoir fait de fausses déclarations sur les activités financières de la filiale, ont déclaré les mêmes sources.
Contactée par Reuters, une porte-parole de Djezzy a répondu qu’elle n’avait pas de commentaire à faire sur ces dossiers.
Reuters