Algérie : Top 5 des hauts responsables les plus irresponsables

Redaction

Ces personnalités occupent des postes importants au sein de l’appareil politique. Des personnalités qui ne cessent de défrayer la chronique avec leurs déclarations insensées et leurs frasques quotidiennes. Ces personnalités énervent, déçoivent et irritent régulièrement les Algériens. Voici le Top 5 des hauts responsables les plus irresponsables. 

Amar Saïdani : «La France nous a donné l’indépendance, mais voulait prendre le Sahara ». C’est une des perles de Amara Saadani. Le secrétaire général du FLN est un habitué des phrases polémiques. Lors que l’actuel chef de l’Etat français, François Hollande, était venu, en 2006, en tant que premier secrétaire du Parti socialiste, Saïdani était président de l’APN. Il lance alors à la figure du futur Président de la République française : « Votre parti est grand. Mais il a un problème : il compte beaucoup de juifs ! ». Stupéfait, Hollande se plaint auprès de Bouteflika qui a vite éteint l’incendie.

Amara Benyounès : Le président du Mouvement populaire algérien est un des derniers ralliés du clan Bouteflika. Il a donc dû sentir le besoin de « prouver » plus que les autres. Il lâche, alors, en pleine campagne électorale pour la présidentielle de 2014 : « Le cerveau de Bouteflika  fonctionne mieux que tous les nôtres », avait-il dit avant de poursuivre, quelques jours plus tard : « C’est avec son cerveau qu’il va gérer le pays, non avec ses jambes ! ».

Louisa Hanoune : Pour défendre le pouvoir contre les attaques de Sofiane Djilali, la secrétaire générale du Parti des Travailleurs n’a pas trouvé mieux que d’attaquer l’homme là où on l’attendait le moins : Elle dit que Sofiane Djilali fait de l’opposition depuis qu’il n’a plus sa villa au Club des Pins. « «Je ne suis pas contre : rendez-lui sa villa à Club des Pins pour qu’il se taise ! », a-t-elle dit.

Abdelaziz Bouteflika : Pour montrer « les réalisations » de ses deux quinquennats, Abdelaziz Bouteflika avait lancé, en mars 2009, devant des milliers de jeunes réunis à la salle de la Coupole du 5-Juillet : « Nous avons de quoi organiser deux coupes du monde ! » Mais 5 ans après, il s’est avéré qu’aucun stade n’est finalisé et que même l’équipe nationale de football ne trouve pas le moindre stade pour jouer dans de bonnes conditions.

Abdelkader Bensalah : Connu pour être un mauvais tribun, Abdelkader Bensalah a surpris son monde lorsqu’il avait été interrogé sur l’état de santé du chef de l’Etat. Alors que Abdelaziz Bouteflika était hospitalisé au Val-de-Grâce, le président du Sénat a pris les Algériens pour des canards sauvages : «le président est en bonne santé ! ». Il faisait quoi alors à l’hôpital ?

Quitter la version mobile