Réponse au journal qui licencie et assume : Merci, vous nous avez réunis…

Redaction

g Le quotidien, dont nous tairons le nom pour ne pas lui faire de la pub, et qui nous a permis de nous rassembler (merci) «grâce» au licenciant de notre consœur (elle n’a rien raté), a cru bon de contrattaquer en se victimisant, se gonflant et en poussant l’absurde à son paroxysme, au moyen d’une chronique approximative et ouvertement commandée.

Pour lui répondre, je vais faire court, parce que leur diarrhée mentale me donne la nausée. Messieurs, arrêtez de vous masturber les méninges, vous risquez de ne rien trouver. Vous nous dites que Hadjer est incompétente, qu’elle a été licenciée bien avant son témoignage, qu’elle était bien payée, déclarée à la CNAS, qu’elle n’avançait pas, qu’elle passait ses journées à chater, qu’elle ne faisait pas d’efforts, qu’elle n’était pas digne de votre Rédaction, qu’elle était, qu’elle était et qu’elle était.

Et alors? Et puis après? On sait bien que vous pouvez prouver ce que vous voulez quand vous le voulez. On sait aussi très bien que votre journal est géré par des gens qui ont fait leur preuve sur le terrain. Oui mais quel terrain? Non cher «confrère», nous sommes avec Hadjer même si elle est la pire apprentie-journaliste de tout le globe terrestre.

Et puis maintenant, il ne s’agit plus que d’elle, même si on reste ferme aux sujets de ses droits. C’est tout un élan de rassemblement que vous avez permis par l’ignominie de vos pensées. Comme quoi, il y’ a du bon en tout. Quant à votre paranoïa qui vous fait croire que vous êtes la cible de milieux occultes (oooooooooooooooh), je vous conseille vivement de voir un psy, je ne vois vraiment pas en quoi une machine à photocopie, fonctionnant avec quelques pages ANEP, peut-elle déranger quiconque sur cette terre. Non mais c’est quoi ce bordel?

Un Algérien mrabab

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