Revue de presse. La capitale ne tourne plus le dos à la mer

Redaction

En contrebas d’El Kettani, de l’avenue du 1er-Novembre, ou encore plus loin vers la Pointe-Pescade, les plages retrouvent en cet août 2014, leurs baigneurs, mais ce n’est plus de la même manière, encore moins pour la même surface. Longtemps désertées, voire abandonnées à l’intégrisme comme à la débauche en tout genre, les plages du centre de l’Algérois renouent à nouveau avec leurs estivants, quoique timidement. 

Bab-El-Oued. Sur le front de mer, une légère odeur d’eaux usées mêlée à la brise marine. Le vent d’est, celui dominant, et favorisant la baignade, embarque dans son sillage quelques vieux souvenirs.

Tahar, 59 ans, accoudé sur les bordures du front de mer se rappelle de ce fond bleu turquoise. Aujourd’hui, d’un gris noirci, les vagues se brisent amèrement sur des plages dont l’espace et la beauté ont beaucoup perdu.

D’un pas hésitant, une dame, la cinquantaine, engage…

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