« Un été à Alger », l’aventure cinématographique continue…

Redaction

Il fait chaud à Alger, c’est le début du ramadan et la cinquième semaine d’Un été à Alger. Lamine Ammar-Khodja part en balade avec les étudiants, Hassen Ferhani est en quête d’un mystérieux personnage le long du boulevard Cervantès, Amina Zoubir investit un café maure avec des femmes, et Yanis Koussim s’enfonce dans la nuit et tombe sur l’amour.

Amina Zoubir / Prends ta place ! #5 

Café maure

A Alger ce sont plutôt les hommes qui occupent les cafés, comme le veut la tradition des cafés maures. Amina Zoubir invite des femmes à prendre leur place, en investissant un café le temps d’un après-midi, et ça change complètement le décor ! A vous de voir.

Lamine Ammar-Khodja / 50 contre 1 #5

La radio de Proust

« Cher spectateur, je te propose de redécouvrir la ville dans une balade sérieusement légère avec les étudiants » dit Lamine Ammar-Khodja. C’est à l’aube du cinquantenaire, le pari risqué d’un presque trentenaire, de tenir un journal à la première personne. Un seul homme contre les 50 dernières années…

Hassen Ferhani / En remontant Cervantès #5

Sid Ahmed Benengeli

Après le jardin d’essai, le musée des Beaux-Arts, et le cheval de don Quichotte, Hassen Ferhani poursuit sa déambulation…Tout au long du Boulevard Cervantès, un homme, à bord d’un taxi, recherche un mystérieux Sid Ahmed Benengeli, historien de son état. Sans adresse précise, il aborde les gens du quartier. Personne ne semble le connaître mais tous veulent l’aider à le trouver. Et vous, vous le connaissez ?

Yanis Koussim / La Nuit #5 

Alger mon amour

02h15. Au cœur de la nuit, les rues désertes d’Alger…deux voix se racontent, un homme et une femme qui se ne se connaissent pas. Lui est dans un Cybercafé, et elle, raconte ses amours nocturnes sur son blog.