Le droit européen l’a emporté contre Air Algérie, et ce ne sont pas les gesticulations du ministère des Affaires étrangères, ni celles du ministre des Transports, en faveur de la compagnie nationale qui ont empêché le remboursement d’au moins 2 millions de dollars par l’Algérie à la société néerlandaise K’Air BV.
Depuis plus de 5 ans, les responsables de la compagnie algérienne ont laissé pourrir un dossier et une créance dont le tenancier, il faut le comprendre, a trop longtemps attendu. La convocation à Alger des ambassadeurs algériens en Belgique et aux Pays-Bas au lieu du PDG et du ministre de tutelle, Boultif et Amar Ghoul, respectivement, prouve une fois de plus l’absence de recherche de responsabilité dans ce fiasco, l’absence de volonté de réformer Air Algérie et de redresser le secteur du transport aérien.
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