« La nuit où l’on compte les années ». C’est le surnom que les Egyptiens donnaient au réveillon du jour de l’an au temps des Pharaons. Une nuit de festivités où la bière – zythum – pour les pauvres et le vin pour les riches coulaient à flot. Des millénaires plus tard, ils continuent à vivre avec trois calendriers : le chrétien, le musulman et le copte.
De notre correspondant au Caire,
Pour la majorité des Egyptiens, le jour de l’an s’appelle « Ras el Sana », la tête de l’année en arabe, et « Christmas » quand on veut montrer qu’on connaît des langues étrangères.$
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