Entre bons coups et dépendance, les nouvelles liaisons entre le football portugais et l’Afrique

Redaction

La CAN concerne et intéresse plusieurs clubs de Liga. L’Afrique est un marché qui compte pour les Portugais. Une liaison ancienne qui a beaucoup évolué et vire parfois à la dépendance.

L’éternel Eusébio, qui est parti rejoindre d’autres dieux il y a un an, en était l’une des incarnations les plus symboliques : le Portugal et l’Afrique ont une histoire croisée. Une aventure devenue une passion destructrice et dévorante. La déchirure a laissé place aux réconciliations. Le ballon a (re)bondi au rythme de ces secousses. Et il demeure un lien. Pas seulement celui entre l’ancien empire portugais et ses anciennes colonies.

Ils sont 15 joueurs de la Liga portugaise à être partis pour la CAN 2015. C’est trois de moins qu’il y a deux ans, mais, cette année, l’épreuve présente une particularité : c’est la première fois qu’autant de non-lusophones (de langue portugaise) du championnat lusitanien alimentent une édition de cette compétition. Ils sont huit, Algériens (Brahimi, Slimani), Camerounais (Aboubakar, Salli), Congolais (Oualembo), Gabonais (Junior Randal Oto Zué), Guinéen (Boubacar Fofana), Equato-Guinéen (Balboa), à accompagner les sept Cap-Verdiens. Les clubs portugais se tournent de plus en plus vers le vaste marché africain. Des rapports qui peuvent prendre plusieurs tournures…

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