Revue de presse. Éducation : Quelle feuille de route pour la nouvelle ministre ?

Redaction

Première activité officielle de la ministre de l’Education. Nouria Benghebrit réunit aujourd’hui l’ensemble des directeurs de l’éducation, les directeurs centraux et les partenaires sociaux. A l’ordre du jour, les préparatifs des examens de fin d’année et la prochaine rentrée scolaire. Une occasion pour la ministre récemment nommée de faire part de ce qu’elle considère comme des priorités.

C’est une réunion aux allures de prise de contact que préside ce matin la ministre de l’Education. Nouria Benghebrit réunit les 50 directeurs de l’éducation, les responsables centraux au sein de son département, les représentants des associations de parents d’élèves ainsi que les nombreux syndicats du secteur.
Il s’agira au cours de cette conférence nationale de faire le point sur les derniers préparatifs des examens de fin d’année, de faire le point sur les préparatifs de la rentrée prochaine mais la ministre de l’Education laisse le champ ouvert à d’autres thématiques inscrites sous le chapitre «divers».

Syndicats et associations des parents d’élèves se saisiront certainement de cette occasion pour non seulement écouter la nouvelle locataire du ministère de l’Education mais également pour faire part de leurs attentes. Installée depuis une semaine seulement à la tête d’un des départements les plus névralgiques, la ministre de l’Education bénéficie d’un crédit «sympathie» certain auprès des différents partenaires sociaux qui font à chacune de leurs interventions référence au bagage scientifique de la ministre et de son intérêt
affiché pour le secteur de l’éducation lorsqu’elle présidait le Crasc.  Un capital que Nouria Benghebrit devra entretenir. Elle est en effet attendue sur plusieurs dossiers dans un secteur en éternel chantier.

Son prédécesseur, faute de courage politique ou ne bénéficiant pas de marge de manœuvre assez importante, s’était abstenu durant toute la période où il était à la tête du ministère de mener des réformes. Baba Ahmed avait annoncé la couleur : pas question de remettre en cause ce qui avait été entrepris par son prédécesseur qui avait battu des records de longévité. Il avait tout juste entrepris une évaluation de la réforme dont les résultats n’ont jamais été rendus publics.

Lire la suite sur Le Soir d’Algérie

Quitter la version mobile