Appel à la solidarité : Notre confrère Hachemi Mohamed appelle à l’aide

Redaction

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A travers nos colonnes, notre ami et confrère Hachemi Mohamed lance un appel à la solidarité. Atteint de plusieurs maladies depuis plusieurs années, l’ancien journaliste de Révolution Africaine et chef de bureau à Oran du quotidien arabophone ‘Sawt El Ahrar”, attend toujours le quitus pour une prise en charge à l’étranger.
A travers nos colonnes, notre ami et confrère Hachemi Mohamed lance un appel à la solidarité. Atteint de plusieurs maladies depuis plusieurs années, l’ancien journaliste de Révolution Africaine et chef de bureau à Oran du quotidien arabophone ‘Sawt El Ahrar”, attend toujours le quitus pour une prise en charge à l’étranger.
Sollicitant la commission nationale à deux reprises en 2005 et 2009, aucune réponse ne lui a été notifiée même s’il a eu des lettres de sympathie de la part de Tayeb Louh, ministre du travail et de la sécurité sociale et Djamel Ould Abbes, ministre de la solidarité nationale et de la communauté algérienne à l’étranger.
Sur ce sujet Hachemi nous dira : « Je remercie Tayeb Louh,Djamel Ould Abbes et le directeur de la CNAS d’Oran qui m’ont aidé à avoir les médicaments nécessaires à mes maladies à partir d’Oran sans passer par Alger ». Notre interlocuteur n’a pas manqué l’occasion de remercier certaines personnalités issues du monde de la presse et autres pour leur solidarité. Il faut souligner que notre confrère et ami a été amputé de la jambe en 2003. A partir de cette date, c’est le début de l’enfer. Il vit cloitré toute la journée dans un fauteuil roulant dans un appartement situé au premier étage du centre ville d’Oran. Selon les différents rapports médicaux sur son état de santé qui se détériore chaque jour, nécessite des soins dans des établissements hautement spécialisés à l’étranger.Au stade ou les choses sont,Hachemi Mohamed a besoin d’actions rapides de la part de nos responsables et non de la compassion ou de la consolation.
A présent, selon lui, deux personnalités d’Oran ont manifestés leur désir de le prendre en charge.
Une personnalité lui a déjà obtenu un visa pour se rendre en France.
Ce que nous souhaitons pour lui,c’est qu’il ne mourra pas dans l’ingratitude de l’anonymat.
La balle est dans le camp de nos responsables. A bon entendeur salut!

B. Houari (Le Patriote)