«Merrill Lynch» et «Bank Of America» en font partie : Plusieurs banques étrangères veulent acquérir des parts dans «Djezzy»

Redaction

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Pendant que le patron du groupe «Orascom Telecom», Naguib Sawiris, s’agite un peu partout pour dénoncer la situation de «non-droit» qui prévaut en Algérie, les autorités locales s’activent, elles, pour clore le dossier «Djezzy».

Selon des informations obtenues par «Algérie-Focus», plusieurs entités internationales ont déjà manifesté leur intérêt pour l’acquisition d’une participation dans l’opérateur mobile, une part qui restera toutefois minoritaire et ne pourra dépasser les 45% au maximum puisque l’Etat algérien se garde le droit de posséder 51% de «Djezzy» et que le Groupe algérien «Cevital» en détient 4%.

Parmi les postulants à une participation minoritaire dans l’opérateur «Djezzy» nos sources évoquent plusieurs banques qui s’étaient déjà positionnées lors de la vaine tentative de cession d’«OTA» au sud-africain «MTN». Il s’agit plus exactement de la «Deutsche Bank», «Banque Of America», «EFG», «Lazard» et «Merrill Lynch».

Plusieurs établissements étrangers s’intéressent à cette affaire et la suivent de très près. Mais le Gouvernement algérien semble privilégier la piste nationale, soit avec le confortement de la position de ‘Cevital’ au sein de ‘Djezzy’ ou en intégrant d’autres opérateurs nationaux», nous dira un expert économique algérien.

Yasmina B.

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