Absence de « formes négatives » du travail des enfants en Algérie

Redaction

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a affirmé qu’il n’existe pas en Algérie les « pires formes » de travail des enfants contre lesquelles lutte l’Organisation internationale du travail (OIT), indique dimanche un communiqué du ministère. Intervenant lors de la 99e session de la Conférence internationale du travail à Genève, le ministre a précisé que l’absence de « formes négatives » du travail des enfants en Algérie s’explique par le système éducatif suivi notamment la scolarisation obligatoire des enfants jusqu’a l’age de 16 ans et la gratuité de l’enseignement, tous cycles confondus, jusqu’à l’enseignement supérieur.

APS