Politique fiction: Obama, Moubarak et Netanyahou discutent au téléphone pour essayer de trouver le moyen de sortir du guêpier égyptien.
Obama: Allo Moubarak ! C’est quoi cette merde ! Avec tout l’argent que tu nous coûtes, on exige des garanties. T’es même pas foutu de tenir ton peuple en respect. You fucking stupid ! Mon téléphone n’arrête pas de sonner, Tel Aviv s’énerve et tout le monde fait dans son froc ici.
Moubarak: Aywa ya cheikh Hussein arbouk ma teakheznich, é chaab tounsi houwa eli kharbli biti. Arbouk ya habibi don’t let me down like Ben Ali. « Yes you can »
Obama: No i can’t, bull shit, it was just a joke. Tu vas débarrasser ton derrière du trône, fissa, t’as trop traîné au pouvoir et ça nous cause des emmerdes. On envoie la CIA pour nettoyer ta merde.
Moubarak: Lih ya cheik, haram alik, ana aguezte, ayeze amout fi el korssi. Ibni Gamal ha yaamel ih dilwaati ?
Obama : démerde toi, t’as du fric, on est au courant de tes combines. Prend ta famille et ton argent et casse toi à Riyad, Ben Ali n’est pas malheureux là bas. On va te couvrir t’inquiète.
Moubarak: Laa ana ayez arouh achouff habibi BB fi israele.
Obama: Ok, as you like.
Netanyahou : Non, pas question. On n’est déjà emmerdé avec nos arabes à nous, on ne veut pas d’un dictateur chez nous. C’est déjà difficile avec Mahmoud (Abbas ndrl), alors avoir en plus le boulet Hosni, non merci. J’ai appelé le Roi Abdellah, il n’est pas contre pour lui offrir l’asile.
Et toi Obama, ne déconne pas, trouve nous cette fois un bon arabe pour gérer le business, y en a marre de ces bons à rien.
Encore une chose, arrêtes, tu veux bien, de nous bassiner avec la démocratie, les droits l’homme et tout ce baratin, ils y ont cru ces malades. Comment on va faire maintenant ? On ne peut pas balancer tout le monde dans le Nil !
Obama: no problem my dear, tes désirs sont des ordres.
Netanyahou: t’as intérêt oui…
Bip, bip, bip,…(il raccroche)
R.N