Le marché des équipements de la sécurité et de la garde, connaît une croissance calme, dans une conjoncture trop dangereuse, ce qui a poussé les algériens, personnes physiques et sociétés publics et privés, de fournir des millions de dinars pour les acheter, dans le but de se protéger et de protéger leurs biens, en utilisant des équipements intelligents.
Devant l’absence complète des chiffres officiels, sur le marché de ce genre d’équipements sécuritaires, il y a des dizaines de sociétés, ayant un contrat avec des grandes usines, qui produisent ces équipements, et qui sont en compétition pour gagner des appels d’offres, en nette augmentation. Ce qui a développé cette « culture sécuritaire technologique » chez les algériens, c’est le manque de sécurité, causé par la crise des années 90, et ça commencé par les fenêtres et les portes en fer, les murs des maisons et des résidences, étaient devenu plus hauts.
L’ingénieur Mohamed Ben Ahmed, le responsable technique de l’entreprise privée C.D.M.I. affirme que « dans ce marché, le secteur le plus important, intéressé par ce type d’équipements, ce sont les différentes institutions étatiques, les entreprises économiques et les banques, alors que le secteur secondaire est, les individus, en raison de la taille du budget alloué à cette équipement »
Les institutions pétrolières, les usines et les bureaux sécuritaires, sont à la tête de la liste des clients des entreprises des équipements de la sécurité et de la garde. Dans ce contexte, l’ingénieur Ahmed indique clairement à « Al Khabar » , en marge d’un forum organisé par son entreprise, hier, sur Alger, sur les derniers cris des systèmes de sécurités et de gardes, produises par des usines Européens et Asiatiques , « la demande dans le marchés local continue à se développé ». La preuve est–comme Ben Ahmed a dit –« les énormes sommes d’argents versée, par les citoyens et les propriétaires d’entreprise, pour l’acquisition et l’installation des caméras de surveillance, même dans les chambre de leur maisons et leurs bureaux »
A l’exception des caméras thermiques et les caméras à infrarouge, les autorités publiques n’interdisent pas l’importation d’autres types pour l’utilisation personnelle ou sécuritaire, dans des foyers et des entreprises, des institutions et des bureaux publics ainsi que privés.
Tout ce qu’il faut faire, c’est de respecter le cahier des charges, qui précise les spécifications du permis pour entrer sur le marché, de peur de tomber dans des mains des groupes terroristes.
Selon des études précédentes du marché algérien, les équipements de sécurité et de garde se trouvent, dans les logements personnels, les hôtels et les centres touristiques , les institutions médicaux thérapeutiques, les banques et les marchés financiers, les bijouteries, les universités, les instituts et les centre culturels.
D’après El Khabar