« Toutes les entreprises sont contrôlées par la direction générale de imports (DGI) qui applique la loi à toutes les entreprises ». C’est le commentaire fait par le ministre des Finances à propos du redressement fiscale d’Orascom Telecom Algérie ». Karim Djoudi a estimé, dans son intervention devant l’APN que « la loi prévoit que les entreprises ont la possibilité de payer 20% des créances dus, un mois à partir de la date de notification, puis le règlement des 80% restants. Faute de quoi, elles entreraient en litige avec l’Administration des impôts ». Et d’enchaîner: «Toute entreprise a des droits et des devoirs envers l’Algérie, les devoirs consistant au versement des impôts qui lui sont dus». «Si le groupe Orascom venait à faire un recours il aurait à entamer des négociations avec la Direction Générale des Douanes pour s’acquitter de ses dettes qui se chiffrent à 596,6 millions de dollars », déclare-t-il.
Nina A.