Après s’être illustré par la mort d’un jeune crocodile et de deux chèvres naines, lapidés par des visiteurs, le parc animalier de Mostaganem défraie à nouveau la chronique. Cette fois, c’est l’absence de personnel qualifié et de moyens les plus élémentaires, tels les produits anesthésiants, qui est clouée au pilori. Cet état de fait a fini par produire une situation de maltraitance à l’égard des animaux. Y a-t-il quelqu’un, association ou autorité, pour voler à leur secours?
L.R.